Statement from the Executive Office of the International Association of Women Judges
Article 1 of the Universal Declaration of Human Rights provides that “All human beings are born free and equal in dignity and rights. They are endowed with reason and conscience and should act towards one another in a spirit of brotherhood.” Violence motivated by prejudice – whether based on gender, race, religion, or sexual orientation – is anathema to human rights at the most fundamental level.
On Saturday, August 5, a valued member of International Association of Women Judges (IAWJ) staff was the subject of a physical assault accompanied by homophobic slurs. The attack broke our staff member’s glasses and required him to seek medical attention.
Through its judicial training and public education programs, the IAWJ has since its inception fought against gender-based violence and discrimination. “Gender-based violence” and “violence against women” are sometimes used interchangeably. Gender-based violence, however, is broader; it is about the historic power relations that have prevented women from entering, remaining in and flourishing in positions of power. The Executive Office of the IAWJ is deeply committed to hiring people based on their abilities and not based on their sex, race, religion, sexual orientation or gender identity or expression. We see violence and discrimination against people based on any of these factors as not only an affront to human dignity and an attack on the values we hold close to our hearts, but also as attempts to maintain and sustain existing power relations in a time of flux, challenge, and promise.
We wish our colleague strength and healing.
Christie R. Jones
Executive Director
International Association of Women Judges
Declaración de la Oficina Ejecutiva de la Asociación Internacional de Mujeres Juezas
El artículo 1 de la Declaración Universal de Derechos Humanos establece que “Todos los seres humanos nacen libres e iguales en dignidad y derechos. Están dotados de razón y conciencia y deben comportarse unos con otros con espíritu de hermandad”. La violencia motivada por prejuicios –ya sea por motivos de género, raza, religión u orientación sexual– es un anatema para los derechos humanos en el nivel más fundamental.
El sábado 5 de agosto, un valioso miembro del personal de la Asociación Internacional de Mujeres Juezas (IAWJ) fue objeto de una agresión física acompañada de insultos homofóbicos. El ataque rompió las gafas de nuestro personal y le obligó a buscar atención médica.
A través de sus programas de capacitación judicial y educación pública, la IAWJ ha luchado desde sus inicios contra la violencia y la discriminación de género. A veces se utilizan indistintamente “violencia de género” y “violencia contra las mujeres”. La violencia de género, sin embargo, es más amplia; se trata de las relaciones de poder históricas que han impedido que las mujeres accedan, permanezcan y florezcan en puestos de poder. La Oficina Ejecutiva de la IAWJ está profundamente comprometida con la contratación de personas en función de sus capacidades y no de su sexo, raza, religión, orientación sexual o identidad o expresión de género. Consideramos que la violencia y la discriminación contra las personas basadas en cualquiera de estos factores no sólo son una afrenta a la dignidad humana y un ataque a los valores que guardamos en nuestro corazón, sino también intentos de mantener y sostener las relaciones de poder existentes en una época de cambios, desafío y promesa.
Deseamos a nuestro colega fortaleza y curación.
Christie Jones
Director ejecutivo
Asociación Internacional de Mujeres Juezas
Déclaration du Bureau exécutif de l'Association internationale des femmes juges
L’article 1 de la Déclaration universelle des droits de l’homme dispose que « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont dotés de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. » La violence motivée par des préjugés – qu’ils soient fondés sur le sexe, la race, la religion ou l’orientation sexuelle – est un anathème pour les droits humains au niveau le plus fondamental.
Le samedi 5 août, un membre apprécié du personnel de l'Association internationale des femmes juges (IAWJ) a fait l'objet d'une agression physique accompagnée d'insultes homophobes. L'attaque a brisé les lunettes de notre collaborateur et l'a obligé à consulter un médecin.
Grâce à ses programmes de formation judiciaire et d’éducation du public, l’IAWJ lutte depuis sa création contre la violence et la discrimination basées sur le genre. Les termes « violence basée sur le genre » et « violence contre les femmes » sont parfois utilisés de manière interchangeable. La violence basée sur le genre est cependant plus large ; il s’agit des relations de pouvoir historiques qui ont empêché les femmes d’accéder, de rester et de s’épanouir dans des postes de pouvoir. Le Bureau exécutif de l'IAWJ est profondément engagé à recruter des personnes en fonction de leurs capacités et non en fonction de leur sexe, race, religion, orientation sexuelle ou identité ou expression de genre. Nous considérons la violence et la discrimination contre les personnes fondées sur l’un de ces facteurs non seulement comme un affront à la dignité humaine et une attaque contre les valeurs qui nous tiennent à cœur, mais aussi comme une tentative de maintenir et de soutenir les relations de pouvoir existantes à une époque de changement, défi et promesse.
Nous souhaitons à notre collègue force et guérison.
Christie R.Jones
Directeur exécutif
Association internationale des femmes juges